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Affaires judiciaires et autres difficultés auxquelles fut confronté un écrivain indépendant Il constate la difficulté de vivre debout... En France, ailleurs, ce n'est sûrement guère mieux !
Stéphane Ternoise est écrivain et il s'est confronté à l'époque pour se former : Hersant fils, Nicolas Sarkozy (le CD d'analyse sociale censuré par de nombreux médias en 2006, objet d'un ebook en décembre 2011 devenu livre également de papier), Francis Cabrel (demande de l'avocat de l'Astaffortuné et de son ami Richard Seff, exigence de retrait du net d'une page d'un roman), Publibook (procès intenté au TGI de Paris par la société qui pratique le compte d'auteur naturellement déconseillé par l'écrivain)...
Résumé des réponse : Vivre debout ! (dans la lignée de Jacques Brel...)
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Tout a commencé avec
paru vendu... que je ne connaissais pas. Sûrement !
Et le Hersant fils, avait des annonces gratuites paru vendu... ce qui lui sembla sûrement intolérable
qu'un modeste rmiste (je l'étais) puisse porter un site du même nom que ses annonces gratuites.
Alors mon .net est passé dans son escarcelle.
Il en fut plus heureux ? (les employés de monsieur Hersant fils, domicilié en Suisse, peuvent témoigner). Voir PARUVENDU, l'affaire.
Puis j'ai eu la naïveté de lancer un
CD Nicolas Sarkozy de ma campagne lotoise. C'était en 2006. Donc pour les élections présidentielles où j'égratignais également Ségolène Royal.
Puis Publibook m'a intenté un procès au TGI de Paris. Publibook, société pratiquant le compte d'auteur, déconseillé sur mes sites parlant du sujet. Cette société me réclama plus de 300 000 euros ! Difficile de trouver un avocat quand on ne connait pas cet univers-là. J'ai réussi à être défendu par maître Guillaune Sauvage. Elle a perdu, la société, contre le modeste auteur. Mais les médias ont préféré regarder ailleurs. Pourquoi ?
Puis Francis Cabrel et son ami Richard Seff, ont mandaté un avocat avec l'exigence du retrait du net d'une page d'un roman ! Ma réponse !
Vivre debout ! J'ai répondu avec mes dents parfois fustigées à la Jacques Brel...
Puis maître Guillaune Sauvage fut de nouveau mon avocat. J'ai dû par le TGI pour que disparaissent des propos diffamatoires du net. Le TGI de Paris a suivi les arguments de mon avocat.
J'ai ainsi créé http://www.diffamations.com où je m'exprimerai sur mon expérience du sujet !
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