Aurélien Pradié continue de se réclamer du Général de Gaulle Pompidou Chirac

Début du texte de la Chronique hebdomadaire de Toulouse : Gilets jaunes du samedi 30 mai 2020.

Régulièrement Aurélien Pradié continue de se réclamer du Général de Gaulle, du Pompidou de Cajarc et surtout de Jacques Chirac.
Devant cette même Assemblée Nationale, un Jacques Chirac qui déclarait le 15 Juin 1977
« Quand on veut défendre les libertés, on est bien obligé de constater que l'on va à contre-courant de l'histoire »

Un Jacques Chirac qui en 1986 a arrêté le nuage de Tchernobyl a la frontière allemande et en 2003 constaté que durant la canicule il faisait trop chaud !

De quelles libertés parle monsieur Pradié ?
C'est mon député, et le 14 mars 2020 il me répondait
« Vos affaires locales ne me concernent en rien. »
Je m'étais naturellement tourné vers mon député en dénonçant la dictature rurale ayant étouffé la démocratie dans ma commune de Montcuq en Quercy Blanc
où publiquement il me fut stipulé qu'on n'a plus de liberté d'expression quand on est Président de l'association gérant le salon du livre, qui avait obtenu 400 euros
de subventions municipales.
Quand dans le PV d'un Conseil Municipal, j'ai même été accusé de "propos injurieux envers les élus", un mensonge censé justifier la guerre contre le salon du livre, et naturellement montrer à l'ensemble des administrés que toute opposition conduirait à des sanctions.

Mon député défenseur des libertés m'avait répondu « Vos affaires locales ne me concernent en rien. »

De quelles liberté parle monsieur Pradié quand il prétend
"Depuis toujours, nous avons défendu la liberté." ?
Il ajoute "Notre liberté."

C'est peut-être la liberté des parlementaires de l'opposition qu'il défend ?

Gilets jaunes, il vous appartient de vous exprimer sur nos libertés.
Naturellement, en respectant la liberté des autres !

Gao Xingjian, écrivain franco-chinois, prix Nobel de littérature en l'an 2000, dans "Le livre d'un homme seul" s'interrogeait, "où se trouve la limite de la liberté ?

Le chien aboie, la liberté passe et le chien aboie.

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